Pourquoi le Paint Horse?



Ma première rencontre avec un VRAI Paint Horse remonte au 4 mars 2006. J'avais alors 16 ans, et j'étais subjuguée par le calme, la patience, l'intelligence et la beauté de cette jument, Jrs Rosey alias Diamond. J'ai également eu la chance de pouvoir m'occuper de son premier fils Quigon Jrs Première qui, malgré le fait qu'il soit encore entier à cette époque, était (pour moi) facile et agréable à manipuler. Juste ce qu'il faut de "connerie" pour nous montrer qu'il était un jeune étalon tout en étant respectueux.

Plus tard je suis partie travailler dans plusieurs écuries et élevages où j'ai eu l'occasion de cotoyer toutes sortes de chevaux, du shetland au comtois, en passant par le haflinger, le PRE, le Selle Français ou le Franche Montagne.

Après m'être essayée à plusieurs races en propriété, je suis finalement retournée à mes premiers amours "pour voir si" et ça a été le déclic. 

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Ma première jument Paint Horse, c'était Quitty Kakoo. Rescapée de l'abattoir, fichue de partout, mais d'un calme et d'une patience à toute épreuve. Nous avons malheureusement du lui dire adieu le 14 mai 2018 ...

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Puis vint le tour d'Eyota ... Arrivée à la maison le 14 juin 2014. Elle est tout ce que l'on peut espérer et attendre d'un paint horse: une morphologie harmonieuse, un dos solide, de bons aplombs, un mental calme posé et froid sans être fainéante, une pointe de folie pour pouvoir s'accorder quelques moments de jeux, mais une fidélité et une confiance à toute épreuve, une jument infaillible tout comme l'était sa mère, notre regrettée Diamond.